Jeunesse et violence

La jeunesse connaît aujourd'hui des taux de chômage très forts. Elle est bien souvent déstructurée, perdue, en perte de repères, incapable de trouver sa place dans un monde du travail très différent de ce qu'on lui enseigne à l'école, et beaucoup plus dur que l'esprit libertaire dans lequel elle est élevée.Si bien que se sont mis en place en Belgique, en France et ailleurs, des organisations ou associations d'accompagnement de la jeunesse. Elles s'adressent le plus souvent à des profils très différents.

Pour certains il s'agit véritablement d'une formation, d'un apprentissage de la société contre toute violence, cela peut s'adresser à d'anciens délinquants ou à des jeunes de 18 à 35 ans venant de milieux dits difficiles où la violence, la drogue, le racket sont les maîtres d'ordre.

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Mais ces associations d'aide à la jeunesse ne sont pas qu'un espace de médiation pour anciens ou actuels délinquants. Dans des structures différentes, elles aident aussi la jeunesse de la classe moyenne à s'intégrer dans la société par divers biais : que ce soit des formations d'insertion professionnelle ou des conférences d'apprentissage sur des sujets sociaux et sociétaux.

Des coachs professionnels prennent donc en charge des jeunes de 18 à 35 ans pour leur proposer des formations, des cycles de conférence sur le monde du travail, la nourriture, ou la façon de créer et de prendre en main sa vie. Les aides pour jeunes de 18 à 35 ans sont sans fin et sont sans doute amenés à se développer compte tenu de la situation toujours préoccupante de la jeunesse en crise dans nos sociétés modernes.